Description
Si le haïku se passe de commentaires, rien n’interdit en
revanche qu’on s’attarde à dire le bien qu’on pense des
efforts méritoires d’un jeune poète parti à la recherche
de l’instant perdu. C’est le cas de Sébastien Revon, un
français d’Irlande dont on va lire ici les premières pages
publiées par l’ami Christian Cosberg. Je n’avais jamais
rencontré Sébastien avant de lire ses haïkus, la surprise
n’en fut que plus merveilleuse.
Près du vieil étang
le temps d’une libellule
le monde se tait
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